vendredi 6 septembre 2013

LES HEURES [N°2] - JUIN 1897

LES HEURES
N° [2] (Juin 1897)
[Date de publication : Juin 1897 - Couverture : Titre, Ancien Titre (L'Art Wallon), Sommaire, Illustration, Prix, Date, Éditeur - 2e de couverture : Titre, Sous-Titre, Collaborateurs, Abonnement, Mention ("Adresser toutes communications à Mr Guillaume HENNEN, rue St-Remacle, Verviers") - 3e de couverture : Encart publicitaire ("Vous tous qui aimez le beau / le beau dans la nature / le beau dans l'art - le beau dans l'utile / chaussez-vous / chez / Crutzen Frères / Rue du Brou, N° 38 / Verviers / Rue Pisseroule, N° 47 / Dison") - 4e de couverture : Encarts publicitaires (Librairie ancienne & moderne / Guillaume Davister /Verviers ; Librairie belge & étrangère / Édouard Gnusé / Liège ; Typographie-Lithographie Maurice Xhoffer / éditeur de "Les Heures" / Verviers) - Pagination : 20 pages]
Sommaire
Francis Vielé-Griffin : Les Heures / Vers, poème en vers libres [en épigraphe, citation de G[uillaume]. H[ennen]. : "... Et maintenant que le printemps / sème partout de la vie et de la lumière, / ne voudriez-vous pas apporter un peu de soleil / à notre Wallonie parfois si triste et si brumeuse ?" - daté "Touraine, Mai 1897."] (p. 21)
Henri Ghéon : Lied, poème en vers libres (p. 22)
Arnold Goffin : Épiphanie, poème en prose [en note : "Extrait du Thyrse, un vol. en préparation."] (p. 23-25)
Charles Guérin : Défi à la Reine, poème [en bas de page : "L'abondance des matières nous oblige à remettre la critique des livres au prochain numéro."] (p. 26)
Albert Mockel : Fée Papillonne, conte [daté "1886"] (p. 27-33)
Edmond Pilon : L'Automne du Pauvre, poème (p. 34)
Maurice Marchin : Chanson sur l'autre Rive, poème en vers libres [A mon ami Christian Beck] (p.35)
José Perrée : Chanson de la lune, poème [A Stéphane Elseneur] (p. 36)
Paul Jâne : Vie simple, poème [en épigraphe, citation de Schiller : "Lass mich ein kind sein, sei es mit."] (p. 37)
G[uillaume]. H[ennen]. : A propos des Nouveaux-Concerts ["D'avoir pendant des années combattu l'hostilité du public envers les œuvres musicales des maîtres contemporains, et, malgré qu'il se fût buté à l'indifférence dédaigneuse de l'insuffisance et de l'incompréhension, d'avoir voulu quand même le triomphe de ses idées et surtout la magnification de l'Art, M. Kefer a réussi à inspirer à tous, sinon son même amour du Beau, au moins le respect et l'attention pour chacune des tentatives dont l'ensemble résume sa vie..."]  (p. 37-38)
Paul Reimon : Vers, poème [en note : "Fragment."] (p. 39-40)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire